Patch brodé Tibétain

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Cette broderie typiquement tibétaine a été brodée par Sonam, entièrement à la main.

Elle est généralement cousue sur des vêtements où sur une coiffe traditionnelle.

La famille de Sonam s’est échappée du Tibet il y a de nombreuses années mais elle garde sa culture et ses traditions. Son étnie est celle des Tamang, elle brode comme sa mère et sa grand mère le faisait.

Elle vit aujourd’hui à Katmandou, pour que ses enfants puissent aller à l’école. Elle a perdu son mari et son frère dans le tremblement de terre de 2015. Elle fait partie depuis le début du projet d’Omkara. La vente de ses broderies est une de ses sources de revenu.

Vous pouvez utiliser ce patch sur vos vêtements, un sac, où la garder intact en décoration.

Tashi Delek  « salutation en tibétain »

Taille: 21 cm/21 cm

 

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Description

Patch brodé Tibétain

 

Cette broderie typiquement tibétaine a été brodée par Sonam, entièrement à la main.

Elle est généralement utilisée sur des vêtements où sur une coiffe traditionnelle.

La famille de Sonam s’est échappée du Tibet il y a de nombreuses années mais elle garde sa culture et ses traditions. Son étnie est Tamang, elle brode comme sa mère et sa grand mère le faisait.

Elle vit aujourd’hui à Katmandou, pour que ses enfants puissent aller à l’école. Elle a perdu son mari et son frère dans le tremblement de terre de 2015. Elle fait partie depuis le début du projet d’Omkara.

La vente de ses broderies est une de ses sources de revenu.

Vous pouvez utiliser ce patch sur vos vêtements, un sac, où la garder intact en décoration.

 

Les Tamang vivent hors du monde, dans des villages perchés entre 2500 et 5000 mètres d’altitude. Leurs maisons entièrement construites en bois et en pierres s’entassent dans de petits hameaux entourés de terrasses agricoles vertigineuses. Nombre de ces villages, cernées de sommets enneigés qui culminent à plus de 7000 mètres, ne sont accessibles qu’à pieds, par des pistes millénaires qu’il faut parcourir pendant plusieurs jours avec son sac à dos pour aller à la rencontre des habitants. 

Les Tamang vivent sans eau courante et vont chercher l’eau au puits ou à la rivière. Ils n’ont qu’un accès très limité à l’électricité et vivent paisiblement dans un moyen-âge agraire qui se prolonge indéfiniment. Les enfants parcourent des dizaines de kilomètres par semaine pour aller à l’école ( quand il y a une école ), s’ils ne sont pas en train de travailler aux champs avec leurs parents et leurs grands parents.

Depuis toujours, la communauté Tamang vit essentiellement de ses productions agricoles locales ( maïs, lentilles, pommes de terre, viande de yak et de buffle principalement ).

La population de cette communauté peu visitée est estimée à un million et demi. Ils parlent le Tamang, un ensemble de dialectes tibéto-birmanes. Leur culture est d’affinité tibétaine, comme en atteste la présence de stupas et de chorten bouddhiques le long des sentiers. Ces monuments sont ornés de drapeaux tibétains, et, au passage des cols, il est de rigueur de nouer un drapeau tibétain à un rocher ou un arbre pour se préserver des esprits négatifs de la montagne.